A gauche : Le poste forestier de la Basse Queue près de Verberie.
A droite : Le poste forestier de Saint-Sauveur.
La fabrication des balais de bouleau.
A gauche : Une hutte de bûcherons dans la forêt de Compiègne.
A droite : Un instantané - Une rencontre désagréable.
La maison forestière du Vivier Corax.
A gauche : Chasse à courre au Puits-du-Roi - Equipages réunis de Chézelles-Prince Murat-Valon - Les maîtres d'Équipage.
A droite : Les équipages de Chézelles, Prince Murat et Valon - En attendant le rapport.
Le premier percement régulier de la forêt remonte au règne de François Ier, ce monarque fit ouvrir les huit routes qui, partant du Carrefour du Puits du Roi, se rendent en ligne droite jusqu'en dehors du terrain boisé.
Louis XIV perça 54 routes de chasse auxquelles Louis XV et Louis XVI ajoutèrent près de 300 nouvelles.
Le tracé de ces voies est particulièrement remarquable autour du Puits du Roi, où elles forment trois polygones : l'intérieur appelé Octogonet, puis le Petit et le Grand Octogone. Cette disposition facilite l'exercice de la chasse à courre : aussi le Puits du Roi fut-il généralement choisi comme rendez-vous des chasses royales et impériales.
En 1810, Napoléon Ier ouvrit l'avenue des Beaux-Monts.
La maison forestière du Hourvari est située au Carrefour Desbouis.
A gauche : La Bénédiction de la Meute.
A droite : Le Balancé de la Nappe.
A gauche : Les scouts en campement près de Pierrefonds..
A droite : Les scouts rassemblés au niveau de l'étang de l' Étot (sur le panneau de signalisation il est indiqué Pierrefonds 5km, Carrefour de l'Armistice 5 km).
Des chasseurs parisiens perdus en pleine forêt de Compiègne, sur chaque poteau indicateur de la forêt de Compiègne figure une marque rouge indiquant la direction du Château de Compiègne.
A gauche : Café de l'Armistice "A l'Élysée de Compiègne" - Maison Formentin
A droite : " A l'Élysée de Compiègne" - Maison Cabley
Tél : 22
A gauche : "A l'Élysée de Compiègne" - Maison Duriez - Rateau.
A droite : L'Élysée de Rethondes et la gare.
A gauche : Halte du Pont de Rethondes.
A droite : La gare de Rethondes, une petite gare située sur la commune de Compiègne, nommée Rethondes pour la différencier de la gare principale de la ville.
A gauche : L'endroit où fut signé l'Armistice.
Au centre : Signature de l'Armistice - 11 novembre 1918 - (5 heures du matin)
Sur la photo de gauche à droite : le Général Weygand, le Maréchal Foch, Sir Rosslyn-Wemyss, le Contre-Amiral George Hope, le Capitaine Laperche - Le Capitaine de Cavalerie Von Helldorf, le Comte Von Oberndorff, Mathias Erzberger, le Général Major Von Winterfeld, la Capitaine de Vaisseau Vanselow.
A droite : A la descente du wagon après la signature de l'Armistice, de gauche à droite : le Contre-Amiral Hope, le Général Weygand, Sir Rosslyn Wemyss, le Maréchal Foch, le Capitaine Marriott, sur les marches du wagon : le Général Desticker (tête nue), le Capitaine de Mierry, le Commandant Riedinger, le Capitaine-Interprète Laperche.
La Clairière de l'Armistice a été créé en 1919 au milieu de la forêt à l'endroit même où fut signé le 11 novembre 1918, entre le Maréchal Foch et les plénipotentiaires allemands, l'armistice qui mit fin à la guerre de 1914 - 1918.
Le wagon du Maréchal Foch, dans lequel fut signé l'armistice, avait été installé le 11 novembre 1927, dans un abri en ciment armé construit grâce à la générosité d'un américain monsieur A.H. Flaming, de Pasadena (Californie) . Le tout, détruit par les Allemands, en 1940, a été reconstruit et rétabli en 1950.
Signature de l'Armistice - 22 juin 1940
Adolf Hitler exige que l'armistice soit signé au même endroit que l'Armistice de 1918, dans la même clairière en forêt de Compiègne.
Il fait sortir le wagon de l'Armistice, qui avait servi à signer celui de 1918, du bâtiment qui l'abrite, et le fait placer à une centaine de mètres de là, à l'emplacement exact où il se trouvait le 11 novembre 1918.
Le 21 juin, lors de la journée inaugurale des négociations, les Allemands sont représentés par Adolf Hitler et le maréchal Wilhelm Keitel, chargé des négociations.
La délégation allemande est composée de :
Rudolf Hess, Hermann Göring, Von Ribbentrop, ministre des Affaires étrangéres du Reich, l'amiral Raeder, chef de la Kriegsmarine, et le général von Brauchitsch, commandant de la Wehrmacht.
La délégation française est composée de :
Du général Charles Huntziger (Commandant la 2e armée autour de Sedan), le Général Jean Bergeret (Chef d'état-major de l'Aviation), le Vice-Amiral Maurice Le Luc et Léon Noël (Représentant le Ministère des Affaires Etrangères).
Après la signature de l'armistice qui mit fin à la "drôle de guerre", les Allemands détruisirent la clairière et le carrefour, mais respectèrent la statue du Maréchal Foch. Le wagon et les pierres furent emmenés en Allemagne. A la fin de la guerre on retrouva les pierres et l'on a pu reconstituer exactement la clairière et le carrefour. Seul, le wagon avait été détruit à Berlin en avril 1945 (soit un mois avant la capitulation allemande) sur ordre d'Hitler par les S.S.
Une voiture similaire (construite en 1913 pour la "Compagnie Internationale des Wagons-Lits" est exposée dans le musée de la Clairière de la forêt de Compiègne.
A gauche : Le théâtre, qui pouvait contenir 4.000 spectateurs, mesure 70m. de diamètre ; il a conservé ses trois premiers mètres de gradins, au-dessus desquels s'incurve un hémicycle gazonné : à la partie supérieure subsistent les six vomitoires qui servaient d'entrée au public. On voit aussi les soubassements de murs de la scène et des coulisses.
A droite : Le temple mesurait 20m. de côté. Un large caniveau de pierre en dessine le pourtour. On reconnaît à l'Est les traces du portique d'entrée, flanqué de quatre colonnes, et les premières marches du perron, fortement calcinées. Parmi les sujets sculptés sur les pilastres d'angle, on croit identifier Mithra, Cérès, plongeant dans le feu le jeune Démophon, Apollon, Icare ou Dédale, Prométhée enchaîné, Mars, etc...
La route qui traverse les ruines, coïncide avec l'ancienne romaine de Senlis à Soissons dite chaussée Brunnehaut, se prolonge au Sud-Ouest de Béthisy-Saint-Martin.
Pique-nique en 1935 en forêt de Compiègne avec des images du Carrefour de l'Armistice, des Châteaux de Compiègne et de Pierrefonds ©INA.
Jeudi 1er mai 1959 des parisiens sont venus, en Citroën Ami 6 et Renault 8, pique-niquer et chercher du muguet en forêt de Compiègne.