La Place du Change était autrefois très commercante.
La quasi-totalité des bâtiments furent détruits lors du conflit de la seconde guerre mondiale.
Tissus Roger Cacheur
Place du Change (en 1951 l'établissement était domicilié 2, place Saint- Clément)
Compiègne
Tél : 0.40.
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A Jeanne d'Arc
Ameublement - Tapisserie
4 & 6, place du Change
Compiègne
Tél : 6.89 |
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Meuble Simon
Boutique Steiner
13 - 15, rue de l'Étoile
Compiègne
Tél : (4) 440.19.49 |
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Une machine à coudre
s'achète en confiance
chez Gavrel
7, rue des Lombards
Compiègne |
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Librairie Daelman
Jean-Baptiste Daelman
Président de la Fedération française
des syndicats de libraires
7, rue des Lombards
Compiègne |
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Cordonnerie rapide du Marché
Louis Mariette
13, rue des trois Barbeaux
Compiègne
Tél : 440.13.22 |
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Le Parisien Libéré "Édition de l'Oise"
&
L'Oise Matin
18, rue des trois Barbeaux
Compiègne
Tél : 440.21.57 & 440.31.85 |
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La Poste de Compiègne est installée depuis 1897 rue Napoléon dans l'ancienne salle d'asile.
Ici les facteurs posent avec leur voiture postale devant leur point de rencontre :
- "Le Café - Restaurant de la Poste"
Propriétaire C. Lacquehay
Déjeuner et Dîner : 1F.50.
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A gauche : Comme le montre cette carte postale, la poste à cette époque effectuait deux distributions de courriers le matin et deux distributions le soir. La poste était ouverte 7 jours sur 7 (dimanches et jours fériés).
Dans les années 50 et 60, à la place de la poste se trouvaient les "établisements Félix Mary"
Tél : 2.05
A droite :
La rue Napoléon est située entre la place de l'Hôtel de Ville et la rue des Lombards.
Après la chute de Napoléon III, les Compiègnois hostiles à la politique de l'Empereur voulaient débaptiser cette rue ouverte en 1855 sur les jardins de l'Abbaye Saint- Corneille, ce souhait ne sera jamais repris par la municipalité compiègnoise.
La quasi-totalité des bâtiments furent détruits lors du conflit de la seconde guerre mondiale.
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L'Hôtel des Postes ou P.T.T. s'installera au début des années 30, rue des Domeliers.
(aujourd'hui le bâtiment a été détruit).
- Téléphones :
- Bureau du receveur 13.81 puis 440. 25.81
- Inspecteur des guichets : 13.88 puis 440.13.88
- Bureau du Chef de Centre : 11.49 puis 440.24.49
- Service des abonnements : 0.12
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La flamme postale des P.T.T. dans les années 1960 - 1970.
Crémerie Pilote - Volailles
"Au Fermier de Normandie"
P. Chéron - G. Racapé
3, rue Napoléon
Tél : 15.61 puis (4) 440.19.49
Ventes - Échanges - Réparations - Gros et Détail
"Établissements Félix Mary"
Distributeur officiel Philips
2, rue Napoléon
Tél : 440.02.05
Pâtisserie de l'Abbaye
anciennement Potelle, Macaigne, L. Bureau
2, rue Napoléon
Tél :440.08.52
Commémoration pour le 10 ème anniversaire de l'armistice de1918, départ des touristes pour Rethondes.
Le repas des anciens dans les années 30 à Compiègne ... lieu à déterminer...
Le monument de Georges Guynemer a été inauguré le 11 novembre 1923, il est l'œuvre du sculpteur Henri-Edouard Navarre. Il est érigé à l'angle de la rue Saint-Lazare et du boulevard Victor Hugo sur un terrain cédé par le Haras National de Compiègne.
Le jeune Guynemer résidait avec sa famille résidait au 112 de la rue Saint-Lazare.
Le Capitaine Guynemer fut tué en combat aérien le 11 septembre 1917 à Poelkapelle en Belgique.
Sur le monument la citation du Général Paul Anthoine :
"Mort au champ d'honneur le 11 septembre 1917. Héros légendaire, tombé en plein ciel de gloire, après trois ans de lutte ardente. Restera le plus pur symbole des qualités de la race : ténacité indomptable, énergie farouche, courage sublime. Animé de la foi la plus inébranlable dans la victoire, il lègue au soldat français un souvenir impérissable qui exaltera l'esprit de sacrifice et provoquera les plus nobles émulations".
Le 26 de la rue Saint-Lazare à Compiègne.
A gauche : Le restaurant "Au Lapin sauté" était situé dans la rue Saint-Lazare.
A droite : Le magasin épicerie - café - tabac "Potier Lescot" est devenu le "café de l'Europe" puis "Au Saint-Lazare" situé au 40 de la rue Saint-Lazare à l'angle de la rue des réservoirs .
Epicerie "Radar Junior" anciennement Familistère 8, rue Saint-Lazare Tél 440.21.21
Les Carmélites de la rue Saint-Lazare célébreront les fêtes de Pâques 1992 dans les murs de leur tout nouveau couvent de Jonquières.
Frais d'entretien et de chauffage excessifs, rénovation de l'adduction d'eau et du réseau électrique trop coûteuse... En janvier 1986, les Carmélites de Compiègne ont dû prendre la décision de vendre la rue Saint-Lazare, qu'elles occupaient depuis 1867. Objectif : dégager les fonds nécessaires à la construction d'un nouveau monastère.
Une décision véritablement "communautaire et réfléchie" comme le précise sœur Alix-Anne, la mère prieure de la communauté. Première étape : le choix de l'architecte, en l'occurence le cabinet compiégnois de Béatrice Scheafer et Sophie Langlois. Un choix "de sensiblité" avant tout, parce que "ce sont des femmes qui ont le sens des valeurs monastiques". Il est vrai que les deux architectes avaient déjà travaillé pour les frères de l'Abbaye d'Ourscamp. La conception du projet débute en 1989. Elle se fait non seulement à partir d'une réflexion commune des sœurs sur les caractéristiques et les dimensions de chacune des parties du bâtiment, mais également à partir des règles de l'ordre.
Chaque carmélite doit, en effet, vivre à la fois en communauté et isolée du monde, partageant sa journée entre travail et prière.
L'expérience des autres communautés est également prise en considération par la visite des 113 Carmels existant en France. Le projet bénéficie enfin des conseils d'un moine bénédictin spécialiste en architecture religieuse.
De 1989 à 1990, les réunions de travail se succèdent au rythme parfois d'une tous les quinze jours. Et après le passage obligé devant la commission diocésaine d'art sacré, la pose de la première pierre a lieu en mars 1991. Douze mois plus tard (alors que seize années avaient été nécessaire pour construire le Carmel de la rue Saint-Lazare, à la fin du XIXe siècle), la nouvelle demeure se dresse à la sortie du village de Jonquières, sur la route de Varanval. L'emménagement devrait se faire avant Pâques.
Un nouveau Carmel qui répond à la fois au mode de vie "fraternel et solitaire" des sœurs et au choix d'une ouverture sur la vie actuelle.
© Eric Saudemont - Journal "Le Parisien" du jeudi 5 mars 1992.
A gauche : La Banque "Société Générale" est tourjours situé au même endroit au 2 rue Magenta (place Saint-Jacques).
A droite : Le "Comptoir National d'Escompte de Paris" est devenu la "BNP Paribas" à Compiègne au 1 rue Magenta.
A gauche : Maison Claude Legaufre Technicien diplômé Michelin
"Hall du Pneu"
Pneus Michelin, Bergougnan
12, rue Magenta
Tél : 12.87
A droite : La boulangerie était déjà là au début du XXe siècle, aujourd'hui c'est François Bigot (Vanille & Chocolat) de Pierrefonds qui est le propriétaire depuis 2011.
Hall du Vêtement (Maison Prangere)
12 rue Magenta
Tél : 223 à Compiègne